La réunion virtuelle, une arme contre le réchauffement

Selon une étude récente du WWF (World Wild Fund For Nature) et de l’ETNO ( association des opérateurs européens de réseaux de télé- communications ) on pourrait réduire de 22 millions de tonnes les émissions de CO2 en remplaçant 20% des voyages d’affaires effectués au sein des 25 pays de l’Union Européenne par des solutions de télécommunications telles les vidéoconférences.

De par ses solutions technologiques et innovantes, la compagnie Netviewer a conduit ses dernières années, plus de 200 millions de minutes de réunion virtuelle. Des milliers de voyages ont ainsi été remplacés par des réunions en ligne.

Dans l’ouest de l’île indonésienne de Sumatra, myclimate, soutenue par Netviewer, travaille à la restauration d’une vieille centrale hydroélectrique encore à peine exploitable. L’objectif est de fournir aux habitants et entreprises une source d’énergie électrique propre. L’installation terminée, d’une puissance d’un mégawatt, fournira une énergie renouvelable en remplacement de l’énergie obtenue à partir de combustibles fossiles. On estime à 4200 tonnes en moyenne la réduction annuelle des émissions de CO2 correspondante.

L’ONU a créé la Journée mondiale de l’environnement le 5 juin 1972, date à
laquelle elle a appelé pour la première fois les états à prendre des mesures concrètes pour inciter aux comportements écologiques au sein des populations.

Le protocole de Kyoto constitue une des premières étapes importantes dans la lutte contre le réchauffement climatique. Les projets de protection du climat de myclimate sont axés sur des critères reconnus au niveau international, émanant directement des mécanismes mis en place par le protocole de Kyoto. L’intégralité des projets de myclimate est contrôlée et certifiée par des organisations indépendantes,notamment le TÜV.

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