Selon les derniers chiffres du Comité Professionnel du Pétrole (CPDP), les livraisons de carburants sur le marché français se sont élevées à 4,11 millions de mètres cubes en juin 2013, en baisse de 6 % par rapport à juin 2012.
Cette évolution résulte d’une baisse de 8,8 % des livraisons de supercarburants sans plomb et d’une baisse de 5,3 % des livraisons de gazole. La part du gazole dans la consommation française de carburants a été de 80,6 % en juin 2013.
Sur les six premiers mois de l’année 2013, la consommation française de carburants routiers a baissé de 1,8 % par rapport aux six premiers mois de l’année 2012. En année mobile, entre juillet 2012 et juin 2013, la consommation française de carburants a été de 49,59 millions de mètres cube, en baisse de 1,1 %. Durant cette période, la consommation de supercarburants a baissé de 5,5 % et celle de gazole est restée stable.
"La consommation de carburants de juin 2013, est en baisse sensible par rapport à celle, de niveau élevé, de juin 2012. Les données de consommation de carburants en année mobile, en baisse de 1,1 %, confirment la persistance de la tendance à la baisse de la consommation française de carburants en France enregistrée en 2012" a indiqué Jean-Louis Schilansky, Président de l’UFIP.
ces chiffres tels quels sont inutiles, si il ne sont pas expliqué, il faudrait essayer de donner des hypothèses et les chiffrer est-il anormal d’avoir une consommation réduite autour de quelques % d’une année sur l’autre, quand la consommation des véhicule s’améliore régulièrement. et quel est l’effet de la météo ou de la présence de jours fériés? quel est la part du covoiturage, de l’ouverture de lignes de train, d’autoroutes, de 4 voies, de tunnels, de ponts, etc,etc,…
En voici une bonne de nouvelle! Effectivement une étude détaillée sur le sujet serait passionnante à lire. N’oublions pas que les carburants dans le transport sont THE emetteur de GES et qu’ils représentent plus du tiers de notre déficit commercial.
les importations de fossile pèsent 69 milliards d’euros de déficit commercial, auquel il faut rajouter 15 milliards de déficit commercial sur le reste (on exporte bien mois qu’avant) et soutraire +15 milliards de service exportés (Seul créneau où la France est restée excédentaire)