Des nez électroniques pour améliorer le biogaz

Un projet communautaire, soutenu par l’Agence spécialisée en matières premières (FNR), examine la mise en place de capteurs sensibles au gaz afin de déterminer la concentration en acide propionique dans les installations de biogaz.

Ces "nez électroniques" devraient ainsi permettre de développer une règlementation dynamique du processus ainsi qu’une intervention plus précise dans le processus de fermentation.

En collaboration avec l’Office fédéral de recherche et d’essai sur les matériaux et l’entreprise "Airsense Analytics", l’institut Leibniz de techniques agricoles Bornim souhaite optimiser la mise en place de groupes de capteurs de gaz spéciaux.

Les "nez électroniques" peuvent déterminer de manière économique la concentration en acide propionique dans les liquides en fermentation. L’objectif de ces recherches est d’utiliser cette technique comme base pour règlementer le processus et ainsi améliorer la stabilité du processus et l’efficacité des installations de biogaz.

Il est prévu dans un premier temps d’effectuer ces travaux en laboratoire et, par la suite, de mettre les résultats en pratique sur des installations réelles. A l’avenir, la mise en place de cette technologie de contrôles et de mesures automatiques pourrait améliorer nettement la sécurité de travail et l’efficacité des installations agricoles de biogaz.

 
Cette information est un extrait du BE Allemagne numéro 305 du 5/10/2006 rédigé par l’Ambassade de France en Allemagne. Les Bulletins Electroniques (BE) sont un service ADIT et sont accessibles gratuitement sur www.bulletins-electroniques.com

   

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A.Leroy

Lu sur Internet A.Leroy

Annie

Il reste à faire des nez électroniques aussi perfformans que des nez humains.