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Emissions de gaz à effet de serre de la France : les résultats 1990-2012

par La rédaction
28 avril 2014
en Gaz, Non Renouvelable

Suite au rapport national d’inventaire au titre de la CCNUCC rendu public le 15 avril dernier, la France a vu ses émissions de gaz à effet de serre diminuer de 12 % en 2012 par rapport au niveau de référence fixé par le protocole de Kyoto.

Les mesures d’atténuation prises par le Gouvernement dans l’industrie, le bâtiment, ou les énergies renouvelables ont permis de compenser et dépasser la hausse tendancielle des émissions liée à l’augmentation de la population.

La France a respecté les engagements pris dans le cadre du Protocole de Kyoto, qui consistaient à stabiliser les émissions de GES au niveau de 1990, pour la période 2008-2012. Le pays a également enregistré une baisse de 26 % des émissions en tonnes par habitant entre 1990 et 2012. En savoir plus

6 gaz à effet de serre passés à la loupe

Six gaz à effet de serre direct* qui constituent le « panier de Kyoto » ont été évalués : dioxyde de carbone (CO2), méthane (CH4), protoxyde d’azote (N2O), deux familles de substances halogénées – hydrofluorocarbures (HFC) et perfluorocarbures (PFC) – ainsi que l’hexafluorure de soufre (SF6). À ces substances s’ajoutent les quatre gaz à effet de serre indirect (SO2, NOx, COVNM et CO).

Les émissions des gaz à effet de serre direct se situent pour l’année 2012 à 11,4% au-dessous de celles de 1990. Cette évolution globale se traduit, dans le détail des six gaz impliqués, par des situations beaucoup plus contrastées. Par exemple, le niveau d’émission de dioxyde de carbone est en 2012 inférieur de 7,5% à celui de 1990, les rejets de méthane sont en recul de 13,4%, et les émissions de protoxyde d’azote en baisse de 37 %. Par ailleurs, l’inventaire met en évidence une augmentation très importante des émissions des hydrofluorocarbures en masse (+ 1258%, ou 364% compte tenu des différences structurelles liées aux molécules mises en jeu, en termes de pouvoir de réchauffement global.) Ces gaz sont notamment utilisés dans les systèmes réfrigérants, ou les aérosols.

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La répartition des émissions en chiffres

Le transport est, en France, le premier secteur émetteur de GES. Il représente 27,8 % des émissions nationales en 2012. Le secteur agricole émet, quant à lui, 21 % des gaz à effet de serre. Suivent ensuite les secteurs résidentiel et tertiaire (17,7 %) et le secteur de l’industrie manufacturière (17,6 %). Enfin, les secteurs les moins émetteurs sont les industries de l’énergie avec 11,7 % et le secteur du traitement des déchets (2,6 %).

Emissions de gaz à effet de serre de la France : les résultats 1990-2012

Évolutions des émissions par secteur depuis 1990 en Mt éq. CO2
Source : Inventaire France, périmètre Kyoto, CITEPA/MEDDE, soumission avril 2014

>>> Rapport national d’inventaire (partie 1 – 19,5 Mo) : ici
>>> Rapport national d’inventaire (partie 2 – 19,8 Mo) : ici

* exprimées en termes de PRG hors UTCF (utilisation des terres, leur changement et la forêt)

Tags: ccnuccgeskyototransition ecologique
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Commentaires 22

  1. Bachoubouzouc says:
    il y a 11 ans

    Si on regarde le graphique, la baisse des émissions depuis 1990 n’est due qu’au secteur manufacturier. Autrement dit, à la désindustrialisation de la France au profit de la Chine. Nos émissions n’ont donc pas diminué, on en a simplement délocalisé une partie. Le développement massif de la voiture électrique est donc une urgence.

    Répondre
  2. Nature says:
    il y a 11 ans

    Bien que le tableau ne précise pas les parts respectives des différents modes de production énergétiques dans les émissions de GES ,on peut cependant constater que l’énergie n’enémet que 11,6 % .Combien pour la production d’ électricité ? L’éolien ,qui affiche l’ambition de fournir 10 % de notre électricité ne pourrait ,au mieux, que réduire d’un % dérisoire (1% ? )nos GES .

    Répondre
  3. Bachoubouzouc says:
    il y a 11 ans

    Je ne crois pas qu’en France l’éolien ait l’ambition de réduire nos émissions de GES, vu qu’en France elles sont quasi déjà aussi faibles que possible pour l’électricité. L’ambition de l’éolien est d’augmenter la part renouvelable de notre énergie, ce qui en soit se respecte.

    Répondre
  4. Bachoubouzouc says:
    il y a 11 ans

    D’après le bilan 2013 de RTE, la production électrique française aura été à 92% décarbonnée. Il est donc temps d’aller sérieusement traquer le CO2 ailleurs : Le chauffage non électrique, l’eau chaude sanitaire, les transports.

    Répondre
  5. jolastico says:
    il y a 11 ans

    Et on peut aussi ajouter l’agriculture, il y a de quoi faire aussi … Quand vous dites à 92 % décarbonné, c’est vrai, mais on importe les pics de consommation hivernaux, qui ne sont certainement pas à 92% décarbonné 😉 Bon, si on va par là, on importe aussi plein de produits manufacturés chinois, indiens, etc … qui sont très largement carbonnés également … La responsabilité incombe-t-elle au consommateur ou au producteur ? Grande question ^^

    Répondre
  6. gaga42 says:
    il y a 11 ans

    Sur , un des articles de l’excellent blog « Oilman » de Matthieu Auzanneau où il dénonce la supercherie de notre baisse d’émission, qui n’est en fait qu’une délocalisation en Chine, comme l’a déjà souligné Bachoubouzouc.

    Répondre
  7. Delsol says:
    il y a 11 ans

    La responsabilité incombe-t-elle au consommateur ou au producteur ? Grande question Quand le consommateur n’a pas le choix de son producteur;la responsabilité incombe au producteur.

    Répondre
  8. Dan1 says:
    il y a 11 ans

    Bien qu’ayant déchaîné « historiquement » des débats sans fins, le CO2 de la production (et de la consommation) électrique française est le prototype même du non sujet tellement c’est faible et…. en décroissance rapide. C’est moins de 30 millions de tonnes par an pour 550 TWh et on va fermer des centrales à charbon. Le CO2 total émis tournant aux alentours de 350 millions de tonnes par an. Seuls quelques dogmatiques nostalgiques peuvent encore ponctuellement s’accrocher à ce sujet. En revanche, chez nos voisins ça peut encore se discuter : Pour ce qui est de l’empreinte carbone, en France, on constatera aussi que le problème majeur via de l’Allemagne et non de la Chine :

    Répondre
  9. Dan1 says:
    il y a 11 ans

    La Chine c’est pratique pour lui mettre sur le dos le carbone qu’ont émet pas chez nous… sauf que la majorité du carbone importé vient… d’Allemagne et après seulement de Chine !

    Répondre
  10. Dan1 says:
    il y a 11 ans

    Mais l’empreinte des Danois n’est pas mal non plus : Les éoliennes ne font pas tout !

    Répondre
  11. Sicetaitsimple says:
    il y a 11 ans

    si vous voulez parler du « carbone importé » mais non comptabliisé via les imports d’electicité « à la pointe »ou pas d’ailleurs (environ 32TWh en 2013), n’oubliez pas de compter le carbone évité chez nos différents voisins par les exportations (environ 79TWh en 2013).

    Répondre
  12. jmdesp says:
    il y a 11 ans

    On a pas vraiment eu de pic hivernal en 2013, en décembre le chiffre moyen annoncé par RTE est 60gCO2/kWh contre 53 en août. Bon d’accord les mois de mars et février en dessous des moyennes saisonnières nous ont eux en 2013 monté à 90 et 87gCO2/kWh. Mais celà démontre qu’il suffirait d’une meilleure disponibilité des centrales sur l’ensemble de la saison d’hiver pour maintenir le score, cela aurait un coût certes. Pour le début d’année, les scores sont impressionnants, je cherche l’erreur de calcul mais pourtant il semble que c’est bon. 43g pour janvier (max 80, min 23), 40,3 pour février (max 66, min 24), 49 pour mars (max 89, min 26). De tel score signifie aussi que nous n’avons pas eu besoin d’importer, sauf éventuellement si l’Allemagne avait un gros excédent renouvelable et des prix très, très bas. @gaga42 : Il ne faut pas non plus exagérer dans l’autre sens, la France continue à produire des choses, qu’elles vend à l’étranger pour une grande part. Oui, on a en partie triché en délocalisant nos émissions en Chine, mais aussi en partie transformé la structure de l’économie.

    Répondre
  13. Dan1 says:
    il y a 11 ans

    Effectivement, l’hiver 2013-2014 est affligeant surtout en deuxième partie. La maximum de l’hiver (enfin de l’automne) a été atteint le 08 octobre 2013 à 18h00 : Regardez les courbes sur 60 jours en sélectionnant les périodes via le calendrier, c’est instructif. Et à partir de 2015 ça deviendra franchement critique avec seulement 3,5 GW de charbon. Dans le match des émissions de CO2 on sera très clairement en retard sur nos voisins !

    Répondre
  14. Sicetaitsimple says:
    il y a 11 ans

    3GW, pas 3,5, et ce le 31/12/15 au plus tard. Et si les cogénérations gaz qui produisent plein pot même quand on n’en a pas besoin ( par exemple les WE) parce qu’elles bénéficient de subsides éhontés ( s’agissant d’une production fossile), les émissions de CO2 du secteur electrique seraient encore réduites!

    Répondre
  15. Dan1 says:
    il y a 11 ans

    Bon 3 GW c’est en janvier 2016 : On va encore pouvoir émettre en 2015, mais c’est vrai que ça va mal de ce côté là. Heureusement, il nous reste la cogénération et les importations !

    Répondre
  16. Sicetaitsimple says:
    il y a 11 ans

    celle sur les cogénérations,mais on aura compris. Bref, pour en revenir à l’article et Bachoubouzouc l’a bien signalé, à l’évidence ce n’est pas en faisant du renouvelable electrogène qu’on a des chances de faire diminuer significativement les émissions de GES en France. Dans 10 ou 15 ans, quand il faudra commencer à renouveler le parc nucléaire, peut-être, et même surement, pour éviter qu’elles ne remontent.. Mais ça laisse 10 ou 15 ans pour mettre les efforts ailleurs (notamment l’isolation et je l’espère un décollage en volume du VE ou hybride rechargeable). Et d’ici là ils auront (les renouvelables electrogènes)certainement beaucoup baissé.

    Répondre
  17. s4m says:
    il y a 11 ans

    Autant effectivementje partage l’avis de Bachou sur la « délocalisation » des émissions sur le manufacturier, autant le fait que les émissions en terme de transport et d’énergie n’est pas évoluées est déjà quelques choses de bénéfiques ! D’autant plus que les usages ont évolué : – 111M Tep, c’est la consommation globale d’énergie en 1990 contre 138.9M tep en 2012 (lien). Cela sans que les émissions n’évoluent => ce qui veut dire qu’on produit « mieux ». Sachant qu’en 1990, la production électro nucléaire et hydrolique était déjà assez haute en France et que l’hiver 2012/2013 a été particulièrement rude. – je ne trouve pas le chiffre de la production de richesse / unité d’énergie consommée mais avec les données dispo : *PIB de 1032Mds d’€ en 1990 / Conso de 111 Mtep = 9.59 Mds d’€ / Mtep *PIB de 2032Mds d’€ en 2012 / Conso de 138.9 Mtep = 14.6 Mds d’€ / Mtep ==> avec la même quantité d’énergie, on produit 57% de plus de richesse ! – d’un parc automobile de 27M en 1990, il était de 38M en 2012 (lien). Mon message n’est pas de dire qu’il n’y a plus rien à faire, mais que le chemin parcouru ne peut pas se limiter à la quantité de GES émise parce que quand on regarde certains indicateurs, des progrès ont été réalisés. En revanche actuellement il y a un débat idéologique centré sur la production d’électricité. Etant donné notre mixe actuel, l’urgence serait plutôt dans les transports et l’habitat ! Mais bon, les éoliennes ont « le vent en poupe ».

    Répondre
  18. jolastico says:
    il y a 11 ans

    Merci Dan1 et Sicetaitsimple pour ces chiffres. C’est vrai que quand on a un hiver doux comme cette année, les pics sont assez négligeables. Mais avec un hiver rigoureux, est ce que ça reste toujours correct ? En tout cas, c’est clair que si on veut s’attaquer au coeur du problème, ça reste la rénovation et les transports … (et l’agriculture mais c’est plus spécifique …)

    Répondre
  19. jmdesp says:
    il y a 11 ans

    En cas d’hiver rigoureux, si le froid ne dure pas des semaines et des semaines, cela ne pèse pas trop sur le bilan final. L’éolien qui a été ajouté a quand même un effet certain de réduction du carbone, même s’il y a trop de variations pour vraiment le maximiser (càd la même somme dépensée dans 2, 3 réacteurs de plus aurait eu plus d’effet). L’autre apport positif récent, c’est que par rapport à il y a 10/15 ans, on a beaucoup plus de centrales gaz disponibles pour les pointes, qui évitent que celles ci ne soit excessivement émettrice de CO2. @dan1 : Merci pour l’info sur la possibilité maintenant de visualiser 8 semaines d’un coup sur le site web RTE. Malheureusement l’appli mobile reste limitée à 1 semaine elle. J’avais donnée les chiffres au dessus en téléchargeant le fichier, et en appliquant une formule excel de moyenne.

    Répondre
  20. Dan1 says:
    il y a 11 ans

    A jolastico. « Mais avec un hiver rigoureux, est ce que ça reste toujours correct ? » Non, même dans le pire des cas, le bilan journalier reste désespérement bas par rapport à la moyenne européenne : Vous voyez, le 08 février 2012, nous dépassons les 100 GW de puissance appelée et nous atteignons un sommet de 262 500 tonnes de CO2 dans la journée soit 124,4 grammes de CO2 par kWh. Ce pic français est trois fois moins élevé que le kWh moyen européen sur l’année !

    Répondre
  21. Pastilleverte says:
    il y a 11 ans

    (et honte au DK, à l’allemagne, à la Chine à l’Arabie Saoudite etc etc…) Grâce à ces excellents résultats, certes bien aidés par la « cris », la température mondiale « moyenne » a donc dû décroitre de -0,000001°C (voir un peu plus). Yessss

    Répondre
  22. Metake says:
    il y a 11 ans

    Vu l’effet falaise qui nous attend au niveau de la production énergétique, et la mollesse de notre politique énergétique, il serait temps de s’intéresser au procédé LFTR (Liquid Fluoride Thorium Reactor) La filière thorium revient avec les réacteurs de 4° génération, le seul à cocher toutes les cases sécurité des centrales nucléaires. Liste non limitative : pas de risques d’explosion, cuve à pression ambiante. pas de contamination de l’eau en cas de fuite (solide en dessous de 400°C pas miscible dans l’air ni dans l’eau rendement 200X supérieur à nos réacteur classiques 1000 fois moins de déchets recyclage des déchets actuels à haute énergie, ainsi que des ogives militaires solution réellement pérenne : plusieurs milliers d’années sans augmenter les coûts et possibilité de fonctionner en surgénération. Coût moindre des centrales, estimé par des physiciens à celui d’un avion long courrier, et coût au MW comparable au charbon miniaturisation au niveau du volume d’un container, possibilité de faire du très gros ou du très petit. réalisation d’armement nucléaire avec cette filière très difficile et compliqué Certes il a du travail, mais le procédé concentre ce qu’aurait du être le nucléaire civil si les lobbies militaro industriels et financiers n’avaient pas privilégié la filière uranium/plutonium, qui permettait la production facile et « pas chère » de l’armement de la guerre froide. D’ailleurs, les chinois ont négocié avec les USA, la reprise de toute la doc du labo d’Oak Ridge (ORNL) et y investissent des milliards sur un prototype. Le directeur de l’ORNL (Alvin Weinberg) a fait le siège de l’agence de l’énergie US des années durant, en leur prédisant, ce qui est arrivé à Three Miles Island, Tchernobyl, et Fukushima. Et en leur rabachant que le civil ça devrait être du LFTR, et pas de l’urnium, au point que le défenseurs de la filière uranium/plutonium ont réussi à avoir sa tête. Pourtant, étant un des pères des filières eau pressurisée et LFTR, il était bien placé pour en apprècier la sécurité. Je rappelle que les Chinois en 2013 en étaient à construire une centrale à Charbon, par semaine…la cinquantaine dans l’année, et que leur croissance annuelle de population équivaut à peu près à la population française… Ca implique des besoins avec lesquels on ne peut pas transiger longtemps, et requiert une réelle anticipation énergétique. mais l’intéressant, c’est la combinaison avec les Sels Fondus, ce procédé apporte une réelle sécurité de fonctionnement globale au procédé, sans équivalent dans le nucléaire. Je vous invite à rechercher LFTR sur google pour un aperçu concis du procédé, ou un exposé plus large. Voici quelques liens, pensez à activer les sous-titres fançais si l’apéritif : le menu gastronomique sous-titré en français:

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